Au fil des ans, les souvenirs s'estompent pour finalement disparaitre de notre mémoire. Pour que les petites choses de la vie ne soient pas trop vite oubliées, mon appareil photo tente de les fixer jour après jour, l'une après l'autre, privilégiant l'instant, le détail, le futile. Ce n'est ni un album de voyage, ni un album de famille mais de simples photos isolées, témoignage d'une vie ... somme toute ordinaire.
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jeudi 24 février 2011
23 février 2011
Voilà les coupables !!!
J'ai compris pourquoi les chiennes, en poste derrière la porte- fenêtre de la cuisine, hurlaient alors que j'essayais vainement de poursuivre ma nuit ! Rouquin et Blanc à la queue noire ont investi leur terrain de jeu.
Ales voir, ce ne sont pas les notre, mais bien ceux de nos voisins.
RépondreSupprimerEn fait, il y en a quatre : les deux de la photo plus un grisou et un noiraud.
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